Ami lecteur, grâce à la magie du web, cet article écrit vendredi 14 sera publié jeudi 13, mais j’espère que tu auras quand même l’occasion de passer par ici.

Quand on devient parent, à peu près tous les choix qu’on fait se retrouvent commentés voire jugés. A croire que l’enfant est un domaine public. Selon qui on rencontre, on aura des remarques bienveillantes, des conseils utiles, ou bien des attaques et des jugements.

Il faut dire que lorsqu’on croise quelqu’un, l’enfant est un sujet facile à aborder, avec beaucoup de questions toutes prêtes qui permettent de papoter.

Le plus on s’éloigne de la moyenne, le plus on s’expose aux regards curieux.

Ainsi, Flolasouricette nous parle d’un papa qui, certainement sans le savoir, appliquait des principes d’éducation non violente par le respect et la responsabilisation de son fils. Lorsqu’on choisit ce type d’éducation, on peut passer pour faible, pour laxiste, alors que je crois au contraire qu’on pousse son enfant à réfléchir par lui-même, à ne pas être dépendant du jugement de ses parents. Il apprend à assumer les conséquences de ses actes plutôt qu’à attendre « c’est bien – récompense » « c’est mal – punition ».

Merecruelle évoque le lourd sujet du CHOIX de la famille nombreuse, avec un tour d’horizon des douces remarques qui y sont souvent associées. Il y a deux générations, par absence de moyen de contraception, la famille nombreuse était souvent subie. Aujourd’hui, elle est choisie, et comble de folie, il y en a qui aiment ça ;)

Faire des choix hors normes, c’est s’attirer des regardes inquiets, critiques, désapprobateurs. Mais très honnêtement, je ne crois pas qu’on puisse s’en préserver, peu importe les choix que l’on fait. Il y aura toujours quelqu’un pour faire une remarque, ou la penser si fort qu’elle s’inscrit sur son front. En étant attentif, on peut également attraper quelques regards admirateurs, et même de sympathiques remarques, lorsqu’on ose faire ce que l’on veut vraiment faire.

Bonne lecture !

Vaallos.