Je me souviens, je me sentais comme une guerrière, avec en tête tout les informations nécessaires, un plan d’action bien établit, grâce aux conseils avisés de la sage-femme libérale qui me suivait.
Ces plans et stratégies ont fonctionné en grande partie, mais je me suis trouvée face à un mur de conventions et d’automatismes médicaux édifiants. J’ai déjà raconté l’épisode de mon accouchement. Par la suite, et encore aujourd’hui que mon fils à 3 ans, je continue à chercher les informations nécessaires, celles qui me conviennent pour continuer mon chemin de parent, pour apaiser mes doutes.
Parce que si devenir parent paraît naturel, finalement si on veut faire progresser l’éducation qu’on a reçu, l’améliorer et du même coup, idéaliste que je suis, faire progresser la société, il est nécessaire de connaitre d’échanger, de s’informer… et c’est pour ça que je suis si attachée aux Vendredis Intellos. Le partage de l’information, l’aiguisement de sa conscience parentale… et humaine.
Mais les livres sont parfois longs à lire. Une BD? Oui, c’est un bon support sensible et évocateur pour faire passer un message. Chocophile a trouvé la perle des BD sur un sujet si particulier, si intime : le désir d’enfant, l’infertilité et le parcours du combattant auquel doivent se confronter certains couples pour fonder une famille. Je n’ai pas encore lu Il me manque quelqu’un, mais l’article agrémenté de quelques planches donne envie de lire cet album, pour savoir, pour comprendre.
Certains autres livres, à destination des enfants, sont édités pour être de l’information, de la connaissance vulgarisée. Mais ATTENTION aux messages véhiculés sous prétexte de vulgarisation : raccourcis généralisation, ils ne font pas dans la dentelle. Cri d’alerte de  lendewell! Il faut garder un oeil vigilant sur ce que nos enfants ont à lire. Je me souviens avoir reçu de ma cousine une douzaine de petits livres avec un héro « petit » et « brun ». Dedans une histoire sur les bétises. Et sa maman lui colle une fessée à la fin. Gloups, il a disparu du stock!
Il y a tout ce que l’on sait, et tout ce que l’on imagine… ou pas. Et c’est un peu à cette impossibilité d’envisager la suite de la vie de couple après un enfant que s’attaque Capediem… Il est des questions primordiales qui arrivent avec le bébé que l’ont ne soupçonnait pas avant! Et pourtant… place des grands-parents, résurgence des souvenirs éducatifs et des réflexes familiaux et sociétaux… On y est tous confrontés (enfin, il me semble), quelles sont les solutions que vous avez trouvez pour passer se cap et vous « organiser »?
Et au milieu de ce bouillonnement, la question, toujours sensible de l’allaitement : sein ou bib? Pourquoi choisir telle ou telle option? Quel est l’information et l’accompagnement : des femmes et des couples, vis à vis de cette question? Qui est concerné par cette nécessité d’être informée?
Voilà en résumé les questions que se pose mamangrenadine, au regard des statistiques du taux d’allaitement maternel en France et des catégories sociales des femmes des femmes qui allaitent ou préfèrent le biberon. Son analyse va au delà des querelles pro-pro / anti-anti. Elle pose la question d’un projet de société qui inclurait l’allaitement, les désirs maternels et parentaux sans jugement et avec bienveillance… et mesures financières adéquates! A réflechir…
Si souvent on s’inquiète de ce que mange nos enfants pour leur santé et leur bien-être, il est un domaine plus intime, parfois moins connu qui a des conséquences sur la santé des enfants  : le sommeil et ses troubles. Vous trouverez un bel articles synthétique écrit par Chroniques d’un congé parental sur ce sujet. Que savons nous de l’accompagnement vers le sommeil, si ce n’est le rituel du coucher? L’éclairage est intéressant : la qualité de la présence des parents aux côtés de l’enfant, et l’ensemble de sa journée influence ce moment de transition, ce  t instant sensible. Il est important de le savoir, de se rendre compte qu’il peut y avoir des troubles et être vigilant à les déceler, les guérir.
Je vous le dit : on s’informe beaucoup aux Vendredis Intellos : en écrivant ou en lisant les articles! Merci à toutes les 5 et à toutes et tous les contributeurs/trices.
Merci beaucoup pour ce débrief!!! Tu as raison: pour être parent, on n’a peut être pas besoin de lire mais de s’informer, de partager, de réfléchir!!! Même si les deux ne sont pas incompatibles! :-)
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