Au commencement, est un bébé. Une petite fille. Qui grandit pour devenir une jeue fille, une adolescente puis une femme.
Au fil de son existence, elle a, comme tout être humain, acquis un certain nombre de savoirs, de réflexes, d’envies, d’expériences, de schémas sociaux et culturels… Parmi ces derniers, et peut-être parce que ses tripes le lui réclame, il va y avoir celui de devenir mère.
Avant que cela se produise ou juste après qu’elle ait donné la vie à son petit miracle, la jeune mère va peut-être se questionner sur cet instinct maternel dont elle aura tant entendu parler. Que doit-elle ressentir alors qu’elle frôle pour la première fois la peau de son nourrisson ? Quelles émotions sont censées la submerger, doit-elle s’inquiéter de ce trop-plein ou au contraire de cette latence dubitative ? LadyPirate nous offre un éclairage psychologique et anthropologique sur cette notion si débattue et souvent confondue avec celle d’ « amour maternel », ce dernier étant éminemment personnel.
La femme devenue mère va ensuite être amenée à faire des choix, qui pourront être réfléchis ou s’imposer à elle, l’un des premiers étant celui du mode d’alimentation de son enfant. Mais une fois encore, selon une récente étude discutée par Dreiss, et qui a été (maladroitement) relayée par Le Monde, il semblerait que la femme soit tributaire de facteurs liés à son histoire, son parcours individuel et son entourage. Il ressort en effet que les plus forts taux d’allaitement sont enregistrés chez les mères diplômées et plus âgées. Que peut-on en conclure ? Comment aider les autres catégories de mère à être mieux accompagnées pour bénéficier d’un véritable choix en la matière ?
Et sur le chemin de la maternité, la femme va poursuivre la rencontre avec son enfant, construire sa nouvelle famille en continuant de choisir un chemin plutôt qu’un autre. Les exemples de sa famille, son caractère propre, celui de son conjoint, ce que la maternité aura révélé en elle, la réalité matérielle, la pousseront peut-être à vouloir tout concilier – le bonheur de profiter de ses enfants, l’accomplissement dans une activité professionnelle extérieure, la génération d’un revenu pour la famille, etc. Mais rien n’est moins facile que de trouver ce périlleux équilibre, les solutions étant aussi diverses que les familles existantes, et rien n’est plus… impossible finalement ? Est-ce ce qu’il faut conclure de l’article commenté par Paloma cette semaine ? Sans être aussi radical, le message délivré par l’auteure dudit article, semble être qu’il y a un temps pour chaque chose : à chaque femme de trouver dans quel ordre agencer ces « choses ».
En attendant, il est 23h50. L’ancienne petite fille devenue mère par 2 fois et dont le contrat de travail est temporairement suspendu pour cause de (petit) congé parental est une femme bienheureuse car elle va rejoindre son lit et vous salue.
Bonne lecture !
Merci beaucoup de ton débrief!!! Petite remarque personnelle et contextuelle sur la conciliation vie pro/vie familiale, je crois que tu en conviendras aisément: pour des nanas en congé parental, on est loin de ne faire que changer des couches!! ;)
C’est bien pour ça que je me demande si j’ai vraiment envie de reprendre le boulot et que j’ai beaucoup plus apprécié le congé maternité que la première fois !!! ;-)
Faut juste qu’on trouve un moyen de gagner un peu d’argent et le tour se joué! ;)
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