Nos parents, qu’on soit d’accord ou pas avec l’éducation qu’ils nous ont donné, ont eux-même voulu nous élever mieux que leurs propres parents ne l’ont fait avec eux. Sur ce point, nous sommes identiques. Sur ce point nous pourrions leur dire merci.
Avant d’avoir des enfants, nous avions toutes et tous des principes : mon enfant ne fera pas ça, je ne serais pas comme-ci ou comme ça avec mon bambin, ma mère a fait comme ça avec moi, je ferais autrement, je ferais mieux.
Maintenant nous voilà dans le rôle de parent.
Mais il n’y a pas d’école pour être de bons parents, le tout est de faire le mieux qu’on peut. Le mieux qu’on veut.
Vaallos nous parle dans son billet du pouvoir de la communication. De nos principes tombés à la flotte. Elle nous parle surtout du pouvoir de la description dans une éducation non violente et plus productive.
« Dire à tes enfants que voir leur chambre en bordel te rend furieux, et te donne envie de cogner dans un mur, invitera tes enfants à ranger beaucoup plus efficacement que si tu leur dis à quel point ils sont désespérants et désordonnés. »
Eduquer sans punir, le rêve de tout parents. Bannir les « va au coin! », les fessées, les menaces, les mots blessants.
Julie de Notre Bulle nous parle d’un bouquin qu’elle a découvert concernant l’éducation non violente certes, mais avec un zeste d’autorité.
Parce que « interdire est un besoin », en effet tout enfant a besoin de connaitre ses limites, celle des autres, pour s’inscrire dans la communauté comme il se doit. Elle y parle de l’autorité naturelle qu’on devrait avoir sur nos chérubins (ça se voit, c’est bientôt noël ^^)
« D’abord l’interdiction semble une nécessité pour l’éducation, mais très vite on se rend compte que plus l’autorité des parents est solide, moins ils ont besoin de formuler ces interdictions. »
Elle nous apprend à dire « non ». Le « non » n’est pas violent, il est libérateur pour le parent, et il pose les limites dont tout enfant à besoin.
Mais comment être certain de ce dont ils ont besoin?
Comment être conforté dans son idée que sa méthode d’éducation est adaptée son enfant, ses enfants? Ne dit-on pas que chaque enfant est différent ? Comment savoir que la méthode choisie sera la bonne pour tout nos enfants?
Mamaurèle nous en parle plus en avant sur son blog. Elle nous parle de l’empathie enfantine.
Avec tout ses outils en mains, bien échu qu’on n’arrive pas à faire mieux que nos parents, de faire le tri dans cet héritage parental qui n’est certes pas parfait, mais qui a fait de nous les parents que nous sommes.
Maman Sauterelle.
faire mieux que nos parents…. et en même temps faire aussi bien…
Mon père m’a élevé seul… il a fait beaucoup de choses que je ne ferai pas, il a fait des choses bien, il a fait des choses moins bien – à mon avis-…. il a fait ce qu’il a pu…
Merci pour ton débriefing!! L’occasion comme toujours de revenir et de s’arrêter un peu sur chaque contribution…
En lisant le précédent commentaire, je me dis que la question n’est pas tant du mieux ou du moins bien, c’est à dire du jugement normatif vis à vis de nos parents… là question est au présent et se formule plutôt en: « quelle sera ma pierre à l’édifice? quel pas vais-je accomplir? » et en ce sens, oui, nous irons peut être plus loin que nos parents, mais c’est bien sur ce qui nous aurons laissé que nous nous appuierons, d’une façon ou d’une autre…
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